La beauté : un secteur
économique
clé
Dans un contexte fluctuant, l'industrie de la beauté joue un rôle croissant dans l'économie mondiale. Elle s'impose désormais comme un pilier de croissance et un vecteur d’innovation. Leader mondial du secteur, L'Oréal groupe incarne cette dynamique.
Un modèle économique fort
Estimé à 290 milliards d’euros en 2024, le marché mondial de la beauté est extrêmement dynamique. Moteur essentiel du développement socio-économique, il emploie des millions de travailleurs dans le monde, dont plus de 3 millions dans l'Union européenne, dont une majorité de femmes (61,2%) et une importante communauté scientifique (plus de 30 000 chercheurs en cosmétique). Composée de multinationales, de PME et d'entreprises familiales, l’industrie de la beauté s'appuie sur une chaîne de valeur complexe, allant des producteurs de matières premières aux spécialistes locaux (esthéticiennes, coiffeurs, dermatologues…). L'Oréal joue un rôle central dans cet écosystème diversifié, contribuant à la croissance et à la création de richesse pour tous les acteurs.
Un véritable soft-power
Plus qu'une simple industrie, elle représente un véritable soft power créateur d'emplois, d'innovation et de solutions pour la santé publique. Son impact sur le PIB des pays développés est significatif, et elle joue un rôle crucial dans la lutte contre la désindustrialisation. Berceau de l'industrie cosmétique, et premier exportateur mondial de produits de beauté, la France a réalisé 21,3 milliards d'euros d'exportations en 2023. L'industrie cosmétique représente un secteur clé de l'économie française, employant près de 300 000 personnes.
Un géant aux multiples facettes
Présent dans plus de 150 pays, L'Oréal emploie plus de 94 000 personnes, dont 4 194 chercheurs et 5 900 experts Tech & Digital. Avec 37 usines à travers le monde, le groupe a généré un chiffre d'affaires de 41,18 milliards d'euros en 2023. Il se positionne également comme le 4ème plus grand annonceur mondial, tous secteurs confondus.
4ème
plus grand annonceur mondial, tous secteurs confondus
Chapuy
L’Oréal Luxe
Cyril
Chapuy
Président
L’Oréal Luxe
S'écarter de la norme, c'est capturer l'essence même du luxe.
Chez l’Oréal Luxe, l’audace et la recherche perpétuelle de l’inédit font partie de notre ADN. C’est ce que nous appelons « La Culture de l’Écart ».
En tant que leader mondial de la beauté de luxe, nous portons la responsabilité d’impulser le changement grâce à des innovations disruptives, des engagements qui ont du sens et des expériences mémorables.
Chaque jour, nos équipes repoussent les limites de la créativité, animées par la quête permanente de l'extraordinaire et l'obsession de révéler toute la puissance émotionnelle de la beauté de luxe.
CE N'EST PAS UN PODCAST BEAUTÉ
Ce nouveau podcast de l’Oréal Groupe et New York Times explore le rôle essentiel que joue la beauté dans l'expérience humaine. À travers six épisodes, découvrez le rôle caché de la beauté dans le sport, la technologie, les affaires, la science, la santé et la politique, grâce à des interviews de personnalités du monde entier.
Le Business de la Beauté
« Certains voient le monde de la beauté comme un marché de niche », affirme Isabella Rossellini, actrice qui fut mannequin avant de devenir le visage emblématique de Lancôme. Pourtant, comme elle le souligne dans « This Is Not a Beauty Podcast », dont elle anime la deuxième saison, en réalité, la beauté représente un marché colossal et une industrie mondiale en pleine croissance.
L'industrie mondiale de la beauté pèse 450 milliards de dollars. Selon une récente étude de McKinsey & Company, elle a enregistré une croissance annuelle de 7 % entre 2022 et 2024. Ce marché grandit et s'adapte aux nouvelles générations et géographies, intégrant désormais le soin de soi, le bien-être, les soins de la peau et les traitements esthétiques.
L'économie de la beauté contribue aussi à préserver l'artisanat de luxe et la parfumerie française. Au Domaine de la Rose, dans le sud de la France, Antoine Leclef, 15ème génération d'une famille d'agriculteurs, cultive des roses Centifolia pour les parfums iconiques de Lancôme. La saison 2 de « This Is Not a Beauty Podcast » explore, avec lui, ce précieux savoir-faire qui perpétue une tradition ancestrale.
La beauté est aussi un vecteur d'émancipation économique et d'accès à l'emploi. L'Inde en offre un exemple frappant : l'industrie de la beauté y connaît une croissance fulgurante. Selon le cabinet Kearney, c'est même l'un des marchés les plus dynamiques d'Asie. McKinsey révèle que 58 % des consommateurs indiens associent la beauté à la confiance en soi. L’empowerment des femmes est crucial : l'industrie de la vente au détail et les ONGs comme la ‘Nandi Foundation’, leur offrent des compétences pour développer leurs propres activités.
L'industrie de la beauté peut enfin engendrer des empires de plusieurs milliards de dollars. C'est le cas de Gail Federici, serial-entrepreneure, dont la société de soins capillaires Color Wow a été acquise par le Groupe L’Oréal en juin 2025. Aujourd’hui, elle est classée par Forbes parmi les femmes autodidactes les plus fortunées d'Amérique. Ces histoires sont également au cœur de la saison 2 de « This Is Not a Beauty Podcast ».
Quelle est la boussole de l'industrie de la beauté aujourd'hui ? Comment contribue-t-elle au développement socio-économique global ? Comment soutient-elle les entreprises, des multinationales aux artisans locaux, comme les coiffeurs, les stylistes et les esthéticiennes ? Quel est le rôle de la France, berceau de la cosmétique, dans cette galaxie en expansion ? Et comment L'Oréal, acteur majeur de la beauté, innove-t-il dans ce secteur ? Comment la beauté est-elle sortie de son secteur de niche pour s'affirmer comme un véritable moteur de la société, de l'innovation, du développement économique et de l'épanouissement personnel ?